Vu hier soir : Duplicity de Tony Gilroy avec Julia Roberts et Clide Owen. Il s’agit d’une histoire alambiquée d’espionnage industriel qui ne tient pas suffisamment par elle-même pour s’éviter une séquence finale qui donne la clef de ce qui s’est vraiment passé. Le film, assez amusant malgré tout, vaut surtout pour la performance des deux comédiens principaux qui est impressionnante. Mais ce dont je veux parler ici, c’est d’un aspect très secondaire du film.
Nouveaux textes en ligne
Il y a longtemps que je n’ai pas écrit ici. En fait j’ai beaucoup écrit et travaillé sur des textes beaucoup plus longs que des entrées de blog. Dans ce travail de longue haleine, j’arrive non pas à la fin, loin de là, mais certainement à une étape. Il y a quelques jours, j’ai mis en ligne deux nouveaux textes assez longs que j’ai écrits depuis ma relecture des écrits d’André Martin en juillet dernier. Le plus important est un texte commencé pendant la tournée européenne que j’ai faite entre le 20 janvier et le 8 février et que j’ai continué lors de mon retour ici. Il s’agit de L’idée de l’animation et l’expression instrumentale. C’est une sorte de manifeste.