Last Monday, I went to Claude Beaugrand’s studio in Bedford to listen to what he had been doing during the week after our first meeting. Editing sound over the noise music of Fred Frith was quite a challenge. Dramatically, Fred’s music was absolutely doing the job. Actually, in the first place, the film was constructed according to the music so it was no surprise that there was a very strong organic connection between the music and the images and that it seemed that maybe nothing else was needed.
Herqueville – notes
Herqueville est simplement une méditation sur un lieu. C’est un village de Normandie perdu le long de la péninsule de la Hague. Il est accroché … Read More
Variations sur deux photographies de Tina Modotti – notes
Notes en réponse à des questions de Francesca Pirotta.
Il n’y a qu’une seule réponse à toutes vos questions au sujet de mon film Variations sur deux photographies de Tina Modotti et elle se trouve dans l’examen du processus assez singulier qui lui a «finalement»donné naissance. J’écris finalement parce que tout cela a pris plusieurs années et parce que le but initial n’était pas de faire un film. Le film est un «résultat» qui trouve sa nécessité dans tout ce qui a précédé et non dans une série de décision de réalisation que j’aurais prises pour elles-même.
Au point de départ, il y a eu une invitation de Louise Bédard, qui est une amie de longue date avec qui j’ai collaboré à plusieurs reprises par le passé. Il s’agissait donc d’élaborer un «film scénographique» (l’expression est de moi, cela veut dire que le seul élément de décors serait le film projeté sur le fond de scène) pour une Éuvre chorégraphique inspirée de la vie et de l’Éuvre de la photographe Tina Modotti. Cela s’inscrivait pour Louise dans un projet plus vaste sur des femmes artistes du début du vingtième siècle. C’est donc ainsi que j’ai croisé Tina Modotti que je ne connaissais pas auparavant.