Anciennement de l’Office national du film du Canada, où il a réalisé, entre 1965 et 1999, une vingtaine de courts métrages d’animation et un long métrage (La Plante humaine, prix du meilleurs long métrage de l’année 1996), Pierre Hébert est maintenant cinéaste et artiste indépendant. Depuis 2001, il a parcouru le monde avec son collègue musicien Bob Ostertag pour présenter plus de 80 fois la performance d’animation en direct Living Cinema. Il a également travaillé avec plusieurs autres musiciens dont Fred Frith, Lori Freedman, Stefan Smulovitz et Robert Marcel Lepage. Il a collaboré avec plusieurs compagnies de danse à Montréal, à NewYork et en France. Il a publié trois livres sur le cinéma (L’Ange et l’automate, 1999, Corps langage, technologie, 2006 et Toucher au cinéma, 2021) ainsi que de nombreux articles dans des revues spécialisées. Depuis quelques années, il poursuit également un œuvre d’artiste visuel (dessin, installations, projets web) et publie deux livres de dessins (Tropismes, 2012, Têtes, 2017 ). Couramment, son principal projet est la série de films «Lieux et monuments», pour lequel il a reçu en 2012 la prestigieuse bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec. Cette série comprend des courts et moyens métrages, des installations vidéo et deux long métrages (Le Film de Bazin, 2017, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021). En 2016, avec le projet «Scratch», il renoue avec la gravure sur pellicule, abandonnée en 2001 au profit de la technologie numérique. En 2005, il est récipiendaire du prix du Québec «Albert Tessier» pour l’ensemble de son œuvre, en 2017, il reçoit un prix spécial du Festival international d’animation de Téhéran pour cinquante ans de carrière et, en 2018, l’Emily Carr University of Art and Design de Vancouver lui décerne un doctorat honorifique.
Plus court:
Réalisateur de plus de quarante films dont trois longs-métrages (La Plante humaine, 1996, Le Film de Bazin, 2017, Le mont Fuji vu d’un train en marche, 2021) Pierre Hébert a travaillé à l’Office national du film du Canada de 1965 à 1999. Il est maintenant un artiste indépendant dont le travail cinématographique a pris une ampleur multidisciplinaire (performances d’animation en direct avec des musiciens, installations vidéo, collaborations avec des chorégraphes, dessin, et actions sur le web). Il a publié plusieurs livres sur le cinéma (L’Ange et l’automate, 1999, Corps langage, technologie, 2006 et Toucher au cinéma, 2021) ainsi que deux livres de dessins (Tropismes, 2012, Têtes, 2017 ). Depuis 2010, il poursuit le projet Lieux et monuments entremêlant animation et documentaire, pour lequel il a reçu en 2012 la prestigieuse bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec. En 2005, il a été récipiendaire du prix du Québec «Albert Tessier» pour l’ensemble de son œuvre et, en 2018, d’un doctorat honorifique de l’Emily Carr University of Art and Design de Vancouver.
Encore plus court:
Réalisateur de plus de quarante films dont trois longs-métrages, Pierre Hébert a travaillé à l’Office national du film du Canada de 1965 à 1999. Depuis, son travail a pris une ampleur multidisciplinaire (performances avec des musiciens, installations vidéo, collaborations avec des chorégraphes, dessin, et actions sur le web). Il a publié plusieurs livres sur le cinéma. Il a été récipiendaire , en 2005, du prix du Québec pour l’ensemble de son œuvre, en 2012, d’une bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec et, en 2018, d’un doctorat honorifique de l’Emily Carr University of Art and Design de Vancouver.
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